Septembre 2011
11 septembre 01:32
Is this love ?
....
BOUM !!!
31 octobre 23:59
Est-ce bien raisonnable ?
Quelques temps déjà, j'ai composé un poème à Cathy en réponse à un
courrier négatif. Et depuis, me suis replongé dans ça, mais plutôt de
l'autre côté de la caméra, en tant que revuiste. J'ai coupé le cordon
apprentissage de la lecture des revues pour me former à l'écriture. Je
suis maintenant autonome ce n'est plus nécessaire. Je survole juste les
pages à la recherche d'écritures féminines pour ma propre revue qui
paraîtra quand j'aurai réajusté mes finances. Mais me lancer dans ce
projet alors que je n'avance pas assez vite dans d'autres, est-ce bien
raisonnable ? Mais ça avance. Le nom, le format, le contenu, le
concept, tout se tient...
Dans un article sur Basquiat, j'ai trouvé des points communs avec Samo®
: besoin d'être entouré de musiques, livres, télévision, idées, des
sources d'inspiration, toujours avec du papier sur soi …
30 novembre 00:26
A la vitesse d'un cheval au galop
Pas terminé encore mon réaménagement intérieur… je prends mon temps, je
travaille assez comme ça la nuit ou le jour. Je fignole aussi les
extérieurs… peut-être prioritaire psychologiquement, histoire de
façade, d’apparence, pour être zen, comme je le suis depuis cet été. Et
puis… un cheval blanc dans le parc du château…
Y aura-t-il de la poule au pot à Noël ?
31 décembre 18:28
Une biennale sèche et blanche
Rien terminé mais beaucoup de choses commencées et déjà deux expos
assurées pour 2012… loin d'un fin du monde.
Combattant le procrastination, les deadlines et les murs sont de
solides alliés...
La démocratie culturelle en France
est gommée, écrasée par les responsables des institutions culturelles
et les élus qui ne comptent pas l'argent public pour assurer dans le
premier cas leur carriérisme ou dans le deuxième cas leur réélection
(…) Nous les artistes plasticiens, nous sommes à poil, nus comme des
rats, ils ne nous restent rien, on ne trouve plus de lieu pour exposer,
plus un rond pour travailler, on peut crever! L'argent public est
totalement absorbé par ses institutions comme l'argent privé pour le
mécénat par ses mêmes institutions.
Où sont passées les biennales "OFF"
et "OUT" comme la biennale OFF de lyon et la biennale OUT de Lyon qui
resteront toutes les deux dans le cœur des lyonnais et des artistes qui
y ont exposés. Aujourd'hui toute opposition à Thierry Raspail est
totalement laminée avec la complicité des élus et leurs réseaux.
La biennale de Lyon s'y est refusée,
toujours avec les mêmes méthodes sélectives. L'utilisation d'un
commissaire d'exposition qui rend opaque la sélection des artistes sans
compter sa gestion car les artistes sont écartés y compris
syndicalement dans la gestion de cet évènement international public qui
se chiffre en plusieurs millions d'euros.
gauche mondialiste (…) droite
néolibérale
(…) pour que ses thématiques débiles
s'arrêtent dans ces biennales, musées d'art contemporains et
expositions collectives publiques et que les institutions s'inscrivent
dans les projets des artistes et non l'inverse! Rien à faire la
politique culturelle en France discrétionnaire et arbitraire continue
et fait de plus en plus de dégâts au sein de la communauté artistique
!!!
L'art dit muséal à la française
dévisse de plus en plus des réalités des artistes contemporains dans
notre pays, une véritable machine coercitive contre les libertés
d'expressions. Les artistes souffrent en France car ils n'ont plus de
lisibilité, ne peuvent plus montrer le fruit de leur création et
subissent de plein fouet une censure fallacieuse orchestrée par ses
sans visages et sans âmes qui manipulent les populations pour nous
spolier et faire main basse sur nos biens publics et partagés.
Contre la tenue de la biennale de Lyon, Lili-oto. Samedi 3 septembre
2011 6 03 /09 /Sep /2011 12:07
31 janvier 16:39
Dirty old town
Quand j’ai une idée en tête, je vais jusqu’au bout, pour voir, même si
ça prend parfois du temps. Alors plusieurs... Monter en même temps la
revue, l’association qui la gère et une entreprise le management de mes
activités artistiques... Mais maintenant que tout est clair, je peux
foncer.
Peu de lycées ou d’avenues Robespierre, beaucoup pour Voltaire, et
pourtant…
J’ai vu, une récente nuit, pour la première fois une étoile filante
alors que je pensais à une belle chose. J’ai fait un vœu, en une
fraction de seconde. Lequel ? Pas de mot sur ça, ou qui résume ça. Ou
juste que ma pensée se réalise...
I met my love by the gas works wall
Dreamed a dream by the old canal
I kissed my girl by the factory wall
Dirty old town
Dirty old town
Clouds are drifting across the moon
Cats are prowling on their beat
Spring's a girl from the streets at
night
Dirty old town
Dirty old town
I Heard a siren from the docks
Saw a train set the night on fire
I smelled the spring on the smoky wind
Dirty old town
Dirty old town
I'm gonna make me a big sharp axe
Shining steel tempered in the fire
I'll chop you down like an old dead
tree
Dirty old town
Dirty old town
I met my love by the gas works wall
Dreamed a dream by the old canal
I kissed my girl by the factory wall
Dirty old town
Dirty old town
Dirty old town
Dirty old town
(Ewan Mc Coll)
17 février 00:14
Ma nuit chez M...
J’essaye de reprendre avec un peu plus d’assiduité ce journal. Mes deux
jobs, jour et nuit, les extras, occupent du temps. Tom complète avec la
tenue de la maison… le temps restant m’a été profitable, passé une
semaine à me battre contre des virus, pour avancer. Je mets en place
une association, "Le petit rameur", pour gérer la revue,
Cabaret.
C’était plus urgent que la création d’une société pour gérer mes ventes
et droits, car cette association me permettra de faire des choses,
comme des interventions scolaires, qui auraient été plus compliquées à
réaliser fiscalement parlant dans le cadre de la société. Ces choses
financeront l'association, la revue, l'organisation d'expos, concerts,
etc.
La revue
Cabaret avance. J’ai
presque deux numéros qui affichent déjà complet. Mais que c’est long le
débauchage d’auteures dans les revues que je lis. Recherche de
coordonnées, envois de mails, réponses, ou pas… compétents
d’informations… attentes...
Il me reste à finaliser la maquette, faire la demande d’ISNN, les
demandes de devis pour les impressions.
J’apprends aussi un nouveau programme pour la refonte de mon website,
travaillant en parallèle à son design (recherche du minimalisme). Je
ressens trop le besoin de changement, charte graphique comprise.
Alors la musique, les nouvelles...
Et puis…
Cher M…
On ne se connaît pas, encore, ou alors sans le savoir, par presse
interposée. Mais on se rencontrera bientôt… des projets… toujours par
des projets… que se font les belles rencontres…
J’ai rêvé à vous cette nuit… sans doute mon regard sur votre sourire
hier après-midi… sans doute...
21 février 23:58
Carnaval
Lézardant à la terrasse d’un café, lisant
Pieuvre
de Valérie… Suis-je condamné au voyage, à Paris, pour écrire de la
poésie, pour faire le plein d’essence, de sensations… Morrison... Je
tente déjà la terrasse...
J’ai enfin vu le film
The
Doors.
A l’époque de la sortie, j’étais le seul à ne pas l’avoir vu au cinéma…
C’était un groupe sans plus pour moi. Puis j’ai découvert James Douglas
Morrison, le poète, et j’ai écouté cette formation sous un autre angle.
J’ai fait mieux que lui sur un point, je suis
publié à compte d’éditeur et non d’auteur…
Entre le souci de ne pas déranger et les autres qui me dérangent sans
gêne, je ne faisais pas grand-chose il y a encore peu… maintenant je
fais fi....
Deux ans sans finir une œuvre et tellement peu commencé d'autres… y a
que dans ma tête où sa bouge... un peu trop. Fatigue…
Décalage entre ceux qui me voient comme un poète avec tous les clichés
que cela peut engendrer, et moi qui n' a rien à voir avec ça… plus rien
à voir… de près ou de loin...
02 mars 22:59
Amour année zéro
La pratique informatique déteint sur la vie quotidienne. Les "CTRL + Z"
trop souvent usés devant un écran me manquent en dehors, parfois... et
je me disais tout à l’heure que je n’avais pas la nécessité (ou la
possibilité) de faire une sauvegarde des notes de ce journal sur disque
dur externe... je suis un malade du
back-up.
.. depuis un crashage de PC il y a quelques années...été 2005, je
crois...
Le grand parallèle avec 2004 2005, la purge d’amour, je l'ai vu venir
de loin l'été dernier... Hiver solitaire, volontairement, nécessaire...
un coeur en hiver… et la suite fut comme un conte, avec une
parenthèse enchantée... Le printemps pointe le
bout de son nez… pourvu que ça se passe aussi bien cette année, avec
des expos,
AEF ou pas... un été 2012 plein
de rencontres, peut-être via d'autres biais... pas de
back-up, en
free-lance... pourvu que ça se
passe aussi bien cette année, je le crois, j'en ai la conviction... je
ne sais pourquoi...
15 mars 23:10
Je préfère la solitude hivernale à
celle du printemps
Presque achevé mon autoformation web. Je sais faire maintenant des
liens sans soulignement. Je me donne jusqu’à l’été pour redisigner ce
site. Bientôt dix ans qu'il est en ligne, le coup doit être marqué
fort. Dix ans... 2002... beaucoup d'anniversaires... mais voyez-vous,
même pas le temps d'y penser, j'en ai déjà loupé certains, bien que la
prochaine sortie de mon troisième livre remonte des souvenirs
importants...
Je trouve toujours de nouveaux parallèles avec 2004-05… ces
cinq
soirées littéraires organisées seul... maintenant c'est une revue
littéraire, montée seul, même si c'était une volonté personnelle de
faire tout tout seul, comme un défit… cette solitude hivernale qui
s'achève aussi... pour faire place à celle du printemps...
01 avril 20:42
Comment j'ai sauvé le sénateur
Depuis quelques semaines j’ai retrouvé Karen, une amie américaine de ma
période dijonnaise. Elle n’a pas changée. Depuis quelques jours, je
passe le plus clair de mon temps libre chez elle (soit assez peu). Je
suis outre atlantique depuis quelques jours pour ainsi dire… et il
m'est déjà arrivé pas mal d'histoires extraordinaires. Avant de me
coucher hier, j’ai repensé à ce qui est survenu la veille.
Après une balade au parc, on rentrait chez Karen, passant devant un
fameux hôtel… Elle recevait un ami de son père, un ancien sénateur de
l’Illinois, en vacances dans la région, seul, pour écrire un livre.
C’est alors qu’un terrible accrochage se produisit au carrefour bordant
son immeuble. Deux femmes dans deux petites voitures s’étaient rentrées
dedans… mais l’accrochage était surtout verbal. J’avais honte devant
Karen de cette vision de la France. L’état des deux greluches (car
leurs voitures étaient des voitures de greluches, donc...) oscillait
entre hystérie et mauvaise foi. On les laissa quand les badauds furent
assez nombreux pour calmer l’orage. Cet incident nous retarda à peine,
nous avions un peu d’avance.
Mr Phillips était arrivé il y a deux jours et avait loué une maison
perdue dans les bois. Quand il arriva chez Karen vers vingt heures, il
sembla perturbé. Il nous expliqua que lorsqu’il était arrivé à
l’aéroport, la dame qui lui avait loué la maison était venue le
chercher en voiture. Le temps du trajet jusqu’à son lieu de
villégiature, ils eurent le temps de s’apprécier… et le sénateur de
s’emmêler dans sa tête sur cette femme, hôte, et peut-être hôtesse…
Karen m’avait parlé de sa réputation, qui l’avait obligé à mettre un
terme à sa carrière politique plus tôt que prévue… Mais notre invité du
soir était très embêté car il n’arrivait pas à se connecter à internet
avec son mobile alors qu'il devait contacter au plus vite son éditeur
pour des corrections. En cinq minutes, je dus apprendre les méandres de
son appareil en anglais… mais finalement j’arrivais à trouver la
solution du problème. Mais Phillips mangeait mon énergie au fur et à
mesure du repas, et j’avais très envie de partir. A minuit je ne tenais
plus et quittait la soirée.
Suis rentré à la maison. J'ai pensé à Karen et toute cette histoire, et
me suis endormi dans les bras de Morphée. Sans force. Sans forcer. Je
tombais de fatigue.
Je me suis levé. Pff…. quel rêve !
01 mai 23:41
La couleur du vent
Voilà,
Cabaret #1 est
imprimé,
manque plus que l’agrafeuse commandée à la librairie pour pouvoir
envoyer et lancer la communication. Vendu cependant quelques
exemplaires sans agrafes en avant première vendredi dernier lors de sa
présentation à la soirée
Verso.
Les premiers échos sont sympas. Le spectacle peut bientôt commencer…
* * * * *
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* * *
* * * * *
Retrouvé Guenn, qui m’a fait un superbe travail, autant pour la
revue
que pour faire le logo de
l’association.
Après que j'ai cherché de
longues semaines, après avoir demandé à plusieurs personnes, elle a
trouvé le moyen de matérialiser l’image que j’avais dans la tête assez
facilement… il y a des fois où le feeling, cette connexion à distance
entre deux cerveaux, ne s'explique pas… La vie tout simplement !
Un an que je suis seul dans cette maison. Et que je travaille la nuit
comme oiseau-guetteur-veilleur... Je sens avoir fait le tour de la
solitude. Je n’arrête pas les comparaisons avec l’année 2005… en
oubliant l’ambivalente 2002… suis-je vraiment dans le même état ? Il y
a des éléments si différents… hâte d’être à cet été… que ça se lâche.
J'en rêve quand je me perds... Je devrais réécouter plus souvent Badly
Drawn Boy, mettre de l'essence dans le moteur.
28 étant un nombre parfait ceux* qui sont mort à
27 ans étaient bien des inaptes ?
Rame petit rameur, rame…
* au lieu d'ajouter Amy Winehouse à ce Club 27, plaçons
Jean-Michel Basquiat, qui était aussi un musicien... notamment.
16 mai 01:00
Au bonheur des dames
La revue
Cabaret (#1)
est partie aux quatre coins de la France par voie postale, et même un
peu dans l’espace francophone… laissons encore quelques semaines avant
de juger, s’enflammer ou se ... chépakoi. Commencé à travailler sur le
#2, mais comme j'ai dit à mon accompagnatrice du soir, faudrait pas que
ça me prenne trop de temps... le travail de modélisation que j'exerce
depuis des années sur divers projets finit par porter ses fruits quand
on a traversé le gué.
Suis allé ce soir à une réunion publique philosophique. Parité totale
6-6. Ca sentait le chien mouillé au bout d’un certain moment. Normal
peut-être car quelqu’un est arrivé une dizaine de minutes après le
début avec une chienne, il pleuvait. Ca fait du bien ponctuellement de
réfléchir profondément, de chercher des points de vue personnels...
Il y a des communes qui semblent tristes, faut dire quand j’y vais, il
fait souvent un temps de chien… alors si c’est une commune où je suis
peu allé, ça se transforme en une cité avec une impression… un imprimé
mental assez engagé. Quoique, ça peut être quelque chose de fort. Les
temps gris sont une essence intellectuelle. Ce fut le cas pour une
commune il y a une quinzaine de jours. Un gros bourg sous un temps
maussade… mais j’ai vu une superbe… expo. Et à peine retrouvé l’artiste
tellement elle n’avait pas ses habits d’artiste mais plutôt les effets
d’une visiteuse de galerie de beaux quartiers … Superbe, vraiment...
mais comme le dit la chanson...
Against the grain of dystopic claims of
the thoughts your actions entertain,
and you have proved to be... a real
human being, and a real hero,
a real human being, and a real hero,
a real human being, and a real hero,
a real human being, and a real hero...
22 juin 01:12
Six mois avant la fin du monde
Cabaret
#2 est parti à l'imprimeur et je souffle un peu... Les fêtes de la
musique ressemblent de plus en plus à un rituel initiatique… Encore mon
ancienne prof de philosophie, l’ancienne proviseure, des anciens
élèves, et des têtes connues semées ici et là… beaucoup de choses se
rapportent encore au lycée. Comme si…
Entre projection sur l'avenir de mon fils et notes sur mon passé...
entre deux temps...
11 juillet 00:47
M, etc
Au début, internet c’était les autoroutes de l’information, comme on
nous disait au lycée, maintenant, c’est devenu un océan d’intoxication,
de désinformation. Parfois, trop d’information tue l’information, car
on survole, on ne lit pas assez… Mais bon, il y a le bon côté des
social networks,
des messageries, et des sites de ressources (comme étaient tous les
sites au début, des sites pour s’informer sur des choses précises,
chercher des documents, sans publicité ni scam, épurés d’impuretés). Et
Cabaret enregistre ce soir
officiellement son 1er abonné sur le continent américain.
Un été plein d’expos pour préparer le sommet de septembre avec une
grande exposition personnelle "chez moi" à LC…. Et après ça sera temps
du grand plongeon dans l’inconnu... Les choses peuvent changer avant,
certes, via l'Aventure*.
Je sais pas ce qui se passe ce soir, mais j'ai plusieurs messages de
personnes à qui je pensais et à qui j'allais envoyer un signe...
Nouvelles de M depuis très longtemps notamment… Encore rêvé d’M l’autre
nuit, d’ailleurs. Je veux dire que c’était la deuxième fois en peu de
temps… que je rêve à elle ou à celle qui se cache derrière elle. Mais
cette fois, contrairement à un vieux rêve japonais, je sais qui se
cache derrière son visage… Je pense de temps en temps aussi au 7
septembre 2012, ça fera dix ans…
_______________
*Milan Kundera définit l'aventure comme une « découverte passionnée de
l'inconnu ».
19 juillet 00:30
Hunter
La résidence d’auteure de la revue
Cabaret
va accueillir cet été deux
auteures. Ce qui promet de la matière pour la rubrique "Résidence" de
la revue. Des réserves de matière première. Une chasse aux
inspirations, un safari aléatoire...
Suis allé aux Settons aujourd’hui, et pris de(ux) superbes photos, d’un
bleu involontaire. Un peu de civilisation parfois ne fait pas de mal.
Longtemps que je n’avais pas glandé une journée entière.
Je passe en mode chasse, tout en étant revenu à un état un peu sauvage,
traqué. Animal. Peut-être pour mieux séduire la proie… le match du
chasseur chassé...
Je suis sur la réserve, sur ma réserve… dans ma réserve...
Je fais des feux le soir, à la nuit tombante... comme des balises...
Demain vernissage des AEF… un moment toujours spécial.
31 août 23:55
Again, again
...