Octobre 2008
06 octobre 00:32
Le cheval de Troie
A chaque passage à Lyon, j'affine un peu plus la population. Les gens
sont de plus en plus classifiés. Les quadras bobos, les vieux bourgeois
des Brotteaux, les teufeurs en kaki avec chien et bouteille(s) de
bière. Et les classes populaires ?
La devise de la France, en 2008, est plus près de " Répression,
privilègiature, communautarisme" que de "Liberté, égalité, fraternité".
Rapport de 2007 : 9% de personnes issues des
classes populaires dans les grandes écoles, 18% à l'université =>
Après avoir longtemps fermé les
yeux, voire s'être résignée à accepter une réalité semblant se
justifier sur des critères objectifs et indiscutables, notre société
prend lentement conscience que cette situation est à la fois malsaine
et hypocrite : le risque de « consanguinité » de nos élites constitue,
en effet, une menace pour la vitalité et la cohésion sociales de notre
pays ; de surcroît, il apparaît que les mécanismes de sélection
scolaire mis en oeuvre par notre école républicaine permettraient de
fait, comme l'avait déjà souligné Pierre Bourdieu, d'assurer « la
perpétuation du privilège social ».
Rendez-vous avec mon éditeur. Les ventes de
La Cité des clés
se situent au-dessus de la moyenne, on peut donc envisager la suite, et
cette perspective d'un second livre pour 2009 me booste. Je dois voler
sur cela, pour franchir le cap qui s'annonce à l'horizon. Tout est
prêt, l'illustration de Guenn attend sagement. Je teste déjà le 3ème
livre.
Soirée
Verso
ensuite. Discussion avec l'un des lecteurs : pour composer de la
musique, mieux vaut être dans de bonnes dispositions. C'est justement
ce qui me manque. Incontestablement, je suis de retour dans une période
prolifique en écritures. Est-ce du à mon intoxication? Mes envies
d'expression ont toujours été supérieures à mes souffrances.
Café PMU avenue Jean Jaurès, terrasse plein Sud... ce lieu me plaît.
On veut simplifier l'orthographe et la vie des jeunes… Tiens, ça c'est
bien moi ! Au moment où je m'améliore. Toujours un train de retard. Ca
n'arrive qu'à moi ! Décidément…
Télévision ou même radio, la diffusion est de plus en plus importante
alors que l'analyse l'est de moins en moins…
Côté rééducation, j'ai déjà franchi un cap : maintenant j'arrive à
écrire sur l'ordinateur tout en pédalant.
Voilà; la saison 2008-2009 de la
NHL
commence…et je suis prêt !
LC84 : j'arrive dans la
dernière ligne droite de 1984.
Depuis quelques dizaines de pages, Winston croupit en prison. Je me
rappelle la maison d'arrêt de V / Saône. Entendu aussi hier matin,
qu'il y avait eu une évasion il y a peu. Je pense aux gars. Bien que
j'y ai passé neuf jours comme formateur, ce n'est pas que ça marque ou
que ça traumatise, mais disons qu'on ne voit plus toutes les choses
comme avant, du moins pas comme ceux qui n'y sont jamais allés.
Je ne rêve plus. Depuis des semaines…
09 octobre 09:55
Maille à partir avec les taties
Sleepy LC City se meure sous le règne de Mollasson Ier … Il a réussi
comme W (et peut-être comme Sarko pour 2012) à être réélu sans
programme, par une population vieillissante qui cherche la sécurité et
ne veux pas de jeunes, ne veut que sa tranquillité…
D'abord il y a l'aîné, qui est comme un melon, qui a un gros nez, qui
sait plus son nom tellement qu'il boit ou tellement qu'il a bu, qui
fait rien de ses dix doigts… qui n'en peut plus, qui est complètement
cuit et qui se prend pour le roi, qui se saoule toutes les nuits avec
du mauvais vin mais qu'on retrouve matin dans l'église qui roupille
raide comme une saillie, blanc comme un cierge de Pâques, et puis qui
balbutie, qui a l'œil qui divague. Faut vous dire que chez ces gens-là,
on ne pense pas, on prie.
Grande politique de construction de parking "pour les commerces"… qui
ferment au bout d'un an… imparable…
Aie… je meure aussi…
Et puis, il y a l'autre, des carottes dans les cheveux, qu'a jamais vu
un peigne, qu'est méchant comme une teigne, même qu'il donnerait sa
chemise, à des pauvres gens heureux. Qui a marié la Denise, une fille
de la ville, enfin d'une autre ville, et que c'est pas fini, qui fait
ses petites affaires, avec son petit chapeau, son petit manteau, sa
petite auto, qu'aimerait bien avoir l'air mais qui n'a pas l'air du
tout. Faut pas jouer les riches quand on n'a pas le sou. Faut vous dire
que chez ces gens-là, on ne vit pas on triche. Et puis, il y a les
autres : la mère qui ne dit rien, ou bien n'importe quoi, et du soir au
matin, sous sa belle gueule d'apôtre, dans son cadre en bois, il y a la
moustache du père qui est mort d'une glissade et qui recarde son
troupeau bouffer la soupe froide. Et ça fait des grands flchss… Et puis
il y a la toute vieille qu'en finit pas de vibrer, qu'on attend qu'elle
crève vu que c'est elle qu'a l'oseille, et qu'on écoute même pas ce que
ses pauvres mains racontent… Faut vous dire que chez ces gens-là on ne
cause pas on compte
J’ai grandi à une époque où les vieux avaient tous fait la guerre.
Maintenant, ce n’est plus le cas, pourtant on a l’impression qu’il l’on
fait et c’est détestable.
Et puis il y a Frida qui est belle comme un soleil et qui m'aime pareil
que moi j'aime Frida, même qu'on se dit souvent qu'on aura une maison
avec des tas de fenêtres, avec presque pas de murs et qu'on vivra
dedans, qu'il fera bon y être, que si c'est pas sûr, c'est quand même
peut-être, parce que les autres veulent pas. Les autres ils disent
comme ça qu'elle est trop belle pour moi, que je suis tout juste bon à
égorger les chats… J'ai jamais tué de chats … ou alors y a longtemps…
ou bien j'ai oublié… ou ils sentaient pas bon. Enfin ils ne veulent
pas. Parfois quand on se voit, semblant que c'est pas exprès, avec ses
yeux mouillants, elle dit qu'elle partira, elle dit qu'elle me suivra.
Alors pour un instant, pour un instant seulement, alors moi je la
crois… Parce que chez ces gens-là, on ne s'en va pas…
Mais il est tard Monsieur. Il faut que je rentre chez moi.
( + Jacques Brel -
Ces gens-là
- 1966)
Brel. Je repense au café Cirio… j'aimerai m'y perdre…
16 octobre 01:25
Gas oil
Commencé à lire les livres que j'ai acheté en "duty free" à Louis.
Stéphanie Ferrat,
Couvrir la bouche,
déjà survolé lors de l'expo Dé Bleu que j'avais organisé à LC en 2006.
Au fil des pages, voilà la refonte de futurs livres.
C'est peut être l'abus de café qui tue mon inspiration ? Je me rappelle
à la bibliothèque, je buvais du thé aux pauses. Ce fut la période où je
fus le plus inspiré…
Je suis dans la destruction d'addiction.
Péché sur le net un commentaire qui résume mes pensées sur l'affaire
des sifflets d'hier soir :
Beaucoup
trop d'ampleur à cet évenement...même si je trouve super nul de siffler
la marseillaise, je trouve autant nulles les réactions racistes et sans
plus de jujottes de certains.
Et voilà que notre chers politiques
s'emparent du sujet et notre bon vieux président de dire que tout
prochain match où la marseillaise sera sifflé ne sera pas joué!!!! Et
cela ce n'est pas inadmisible un président qui croit devoir tout
régenter comme au temps de la royauté et de la monarchie et qui n'a de
cesse de rebondir sur tout et n'importe quoi pour se montrer et faire
voir qu'il détient le pouvoir suprême!!!!
On ferai bien de se poser plutôt la
question de l'échec de leur intégration et de leur repli sur d'autres
valeurs autour de leur pays d'origine, d'en analyser les causes et de
proposer des solutions pour leur ouvrir les portes de la république car
comme voudraient le faire croire certains, ce n'est pas seulement une
question d'assédic ou d'allocs!!!!
N'oublions pas également que le
football engendre certains comportements excésifs dus au sentiment
ultra et exhacerbé d'apartenance à une équipe, et par voie de
@#$%équence, dans des phases extrêmes de haine et de mépris de
"l'autre". C'est ainsi que l'on voit nombres de comportements bien plus
anormaux que ces sifflets, comme des bagarres ou pires encore des
meurtres!!!!
Moi, non plus je n'aime pas voir ce
genre de comportements mais Relativisons alors les choses!!!!
Pensez donc à la société qu'on est en
train de nous faire avaler...plus les jours passent et moins je suis
optimiste et dégouté de cela!!!! Société individualiste et méprisante
de l'autre, où l'on préfère sauver le capitalisme que de stopper la
faim dans le monde, ou l'on préfère nous faire travailler le dimanche
ou s'enfermer dans les magasins au lieu de profiter des promenades et
des bonnes choses en familles qui participent à l'éducation de nos
futurs citoyens....!!!
Alors là, je ne m'étonne plus de ce
genres d'incidents
De mathieu.roinjard, le mer 15 oct 17h 10
130 ans de colonisation ça ne s'oublie pas, sauf chez les politiciens
et les médias.
Le sang impur qu'ils ont versé pour avoir leur indépendance…
Nos chers politiques se gardent bien ne nous rappeler le temps des
colonies et les paroles belliqueuses de notre hymne. La France devient
un pays de plus en plus raciste et populiste. Les gens se font enfler
sans le savoir tellement ils deviennent bêtes et méchants. La peur de
l'autre…
Mini, Fiat 500, Coccinelle... après les quartiers populaires, voilà que
les voitures du peuple sont récupérées par les riches. On prend
décidément tout aux pauvres !
Chapitre II : Winston subit des tortures de toutes sortes. Les gardes
essayaient de l'humilier et dele de l'annihiler.
Sous les tortures, il finit par dire qu'il a été un espion à la solde
du gouvernement Estasien / - qu'il a tué sa femme / il confesse aussi
avoir été en contact avec Goldstein pendant des années.
=> sous l'interrogatoire [ sa vie est mise à nue ]
- O'Brien a le pouvoir de faire ce qu'il veut de Winston
- Winston perd sa notion et son sens
- Winston finit par ne devenir qu'un pantin dans les mains de O'Brien.
- entretien en O'Brien et Winston
28 octobre 19:28
La chasse au trésor
En parallèle de mes projets, le mardi c'est "pêche aux annonces
alimentaires"… et la pêche du jour a été mauvaise : 0. De plus en plus
fréquent comme score. Pour le peu de réponses que j'ai en ce moment, la
mode c'est de dire que j'habite trop loin du lieu de travail... je
croyais qu'il fallait être mobile ?
Un mobile sans doute pour dire non…
Pol me raconte ses déboires, mais plus rien ne m'étonne, j'en ai fait
la constatation depuis longtemps.
Mail 1
Que les fashos ne nous fasses pas
chier et Imaginons des Solutions et non des Problèmes ou des Merdes.
Essayons et Architecturons un
bitoniO semblable, à moins que cela existe déjà !?....?!
une EnOrme Serre de plantes et de
Flowers ; avec du CamPing et de la bonne sique à l'intérieur;
(donc Attention au DJ Alors :) )
:)
et depuis que je suis dans cet
appart je m'emmerde, à moins que ce soit le fait que
je n'ai plus de Sous pour
m'exalter avec les filles et des machines à Sous, donc J Imagine Peace
an Love
dOmmAge que Feu Coluche continue
à coucher avec ses Anges :)
et nous, c'est la logique du :
The Business Plan, the business men, mais ma chérie, je suis 1 élément
(quand j'y retournerait En FAIT)
de l'Entreprise, Si je veux
Gagner PLUS, il faut travailler PLUS; (et dit donc il est ou ton boulot
au fait, moi avant de bosser sur Une Table,
je regarde si elle existe en
Fait, et si elle n'existe pas, je te Pete (ou je te décompresse) en
Exception de Merde que tu vat Humer)
J
à+
Mail 2
et tu sais quoi ; je crois que
nous pourrions compléter notre cv de la compétence de : Consutant;
Et oui ; Nous Consultons : les
offres ; les Clients en Rendez Vous ; les Intérim ; Nous émettons des
Appels GSM et Courriels à nos Partenaires (précités) ; Nous recevons
des Appels GSM et Courriels à nos Partenaires (précités) ; nous faisons
donc des Actions Commerciales et de Conseils ; Nous Analysons les
besoins de nos ¨Partenaires ; nous gérons notre suivie pour chacunes de
ces offres ; et nous lançons notre feux Vert quand c'est OK ;Nous
sommes Consultant dans les disciplines métiers que nous proposons ; (et
nous géront la logistique et le budget, mais ça tous les citoyens de la
République le font ça)
bonne nuit et à +
Mon chat aime jouer avec mes stylos… c'est vraiment le bon compagnon de
l'écrivain, non ?
29 octobre 21:10
De la poudre et des balles
L'autre soir nous étions à une soirée lecture de nouvelles. Très bien,
seulement, encore une fois, la désagréable impression d'être perdu
socialement.
Les médias dictent ce qui est bon pour tel ou tel type de gens. Les
classes populaires auront une culture populaire, qui en France en 2008
est égale à du populisme et rien d'autre, alors que dans d'autres pays,
c'est synonyme d'une possible qualité accessible à tous. A Cuba on lit
de la littérature dans les usines…
Des éléments culturels identiques sont réservés d'un pays à un autre à
des classes sociales différentes… la poésie, les livres, en France, on
n'aime pas trop que les petites gens aiment trop, des fois qu'ils
prennent conscience…
Oui c'est ça, rendre les gens bêtes, pour qu'ils ne pensent plus,
qu'ils ne voient pas qu'ils se vont avoir par les gouvernants à la
solde des possédants…
Tin : Les
Housemartins
avaient vu juste 20 ans avant. Les plus grands visionnaires de
l'histoire : London 0 – Hull 4 ( les Tigers ont battu pour leur
première saison en Premier league 4 clubs londoniens : Fulham, Arsenal,
Tottenham, West Ham)...
... ça sent bon le Fred Perry...
En Angleterre c'était un groupe populaire, normal pour un groupe de
prolos… en France, on a Benabar, Cali, les encartés… pour les Bobos.
Goûtez la différence au niveau de l'engagement. La musique c'est comme
le foot. Beaucoup plus physique de l'autre côté de la Manche.
"
NM" marche plutôt bien. De
nouveaux extraits devraient être publiés prochainement dans
Verso.
04 novembre 00:53
Family Cat
Depuis plusieurs mois, j'ai décidé de rajouter à mon carnet d'adresses
et mes listes de diffusion, toute personne cyber-morale ou
cyber-physique qui m'envoie un mail publicitaire via sa liste de
diffusion sans me l'avoir demandé… je dois approcher les 400
contacts... peut-être pour la fin de l'année. J'utilise des spams pour
trouver des noms de personnages pour mes fictions : Mary Rhodes, Jarvis
Leblanc, Andy Floyd, ça crache bien ! Je suis bien décidé à ne pas me
laisser faire par la cyber-pollution.
Après huit semaines de présence, le chat sait analyser les bruits quand
il dort d'un œil dans le salon. Ce n'est pas un oiseau ou une souris.
Ce n'est pas son petit bouchon au bout de la ficelle. Ce n'est surtout
pas le micro-ondes qui réchauffe son lait bi-quotidien, ni la porte du
frigo qui s'ouvre. Peut-être est-ce la porte de la chambre ? C'est
juste que je range une chaise sur la terrasse.
Quelque chose de nouveau s'annonce. Un truc énorme… on est plus
vraiment dans la même vie. On change tout.
04 novembre 23:55
An american dream / Le rêve américain
Voilà déjà plusieurs semaines que les haut-parleurs de la ville
balancent la B.O. de
Chat noir, chat
blanc. C'est assez drôle, vu l'avancée, en général, de la cité
au niveau culturel. L'OTSI de LC doit amortir le CD ?
Un noir à la maison blanche… moi je ne pourrais être qu'un blanc dans
une maison noire… La nuit est toujours une source pour moi. Enfant de
la nuit, né à 2h de matin, forcément…
Je dois, dans le SAV de
La Cité des clés,
expliquer que ces textes datent déjà de quelques années. Q"ils ne sont
que la photographie d'un instant donné. Que je vais bien. Que je suis
passé à quelque chose d'autre, que je n'écris presque plus de poésie.
Que je rêve d'aller à New York et de composer la musique qui rôde dans
ma tête. Bref. Des gens m'ont dit que c'était beau mais triste… les
collègues écrivains n'ont pas évoqué cette tristesse. Des centaines de
textes écrits entre 1999 et, globalement 2006, deviennent après
celui-là 4 autres foutus livres de poésies... et à moins de trouver une
maison d'édition pour chacun (un réel exploit), leur sortie
s'échelonnera environ jusqu'à 2015... et forcement, des gens me diront
que c'est triste...
Je dévale
Ballade Bitume de
Jean-Pierre Lesieur… collègue de routage des villes.
Comme l'a dit Stuart Semple,
la
culture I-pod (on peut rajouter I-phone/Mp3)
réduit les pochettes d'album à des icônes (on
peut encore rajouter "
et l'album à un
vulgaire fichier informatique") .
I have a dream...
« I say to you today, my
friends, so even though we face the
difficulties of today and tomorrow, I still have a dream. It is a dream
deeply rooted in the American dream. I have a dream that one day this
nation will rise up and live out the true meaning of its creed: “We
hold these truths to be self-evident: that all men are created equal.”
I have a dream that one day on the red hills of Georgia the sons of
former slaves and the sons of former slave owners will be able to sit
down together at a table of brotherhood. I have a dream that one day
even the state of Mississippi, a state sweltering with the heat of
injustice, sweltering with the heat of oppression, will be transformed
into an oasis of freedom and justice. I have a dream that my four
little children will one day live in a nation where they will not be
judged by the color of their skin but by the content of their
character. I have a dream today! I have a dream that one day down in
Alabama, with its vicious racists, with its governor having his lips
dripping with the words of interposition and nullification; one day
right down in Alabama little black boys and black girls will be able to
join hands with little white boys and white girls as sisters and
brothers. I have a dream today. I have a dream that one day every
valley shall be exalted, every hill and mountain shall be made low, the
rough places will be made plains and the crooked places will be made
straight and the glory of the Lord shall be revealed and all flesh
shall see it together. » (MLK - 1963-08-28)
10 novembre 00:59
Esprit de corps
Envoyé des extraits de
NM à
diverses revues. Ca a l'air de bien
marcher. A force de triturer les textes, construisant ainsi des
ensembles devenus des corps, j'ai conçu un monstre dont j'ai perdu le
contrôle.
J'ai besoin que les choses soient bien rangées autour de moi, parce
que, comme Serge Gainsbourg, il y a une telle pagaille dans ma tête
qu'il faut qu'il y ait de l'ordre devant moi.
Allé voir
Cruz-Diez
hier pour la clôture d'une de ses expos au Centre
Frank Popper. Performance danse et musique sur ses travaux… Vernissage
cet après-midi de la très "carrés" expo
Yves Paoli à
Pikinasso
… Tout
ça entre-coupé de tranches de foot… pourquoi en France, on passe pour
un E.T. à aimer l'art et le foot ? Pourquoi toujours opposer le corps
et l'esprit ? Le corps de Benzema et l'esprit de Houellecbecq (deux
types que je ne peux pas encadrer)… l'improbable rencontre. C'est l'un
ou l'autre. L'esprit de Benzema et le corps de Houellecbecq… Pourtant,
ne dit-on pas un esprit sain dans un corps sain ? Ouais, il est pas
très sain(t) Michel, et "Benz" on ne sait pas trop ce qu'il (ou s'il ?)
pense...
L'insupportable air de Seven nation army résonne dans ma tête. Sans
raison.
11 novembre 22:57
Ne m'oubliez pas
1er 11 novembre sans poilus. Dernier
11 novembre aussi ?
Ca sent la boue, le gris-bleu… l'embourbage.
1er année sans poilus, ce qui arrange certains, comme le décès de
Pierre et Emmanuelle…
Des anciens combattants seraient pour un allégement des cérémonies, de
leur poids… c'est vrai que dans un sens, que commémorer c'est aussi
maintenir les divisions…
Oui, mais… comment dire… comme faire pour ne pas oublier ?
André Malraux -
19 décembre 1964 -
Chef de la Résistance martyrisé dans
des caves hideuses, regarde de tes
yeux disparus toutes ces femmes noires qui veillent nos compagnons :
elles portent le deuil de la France, et le tien. Regarde glisser sous
les chênes nains du Quercy, avec un drapeau de mousselines nouées, les
maquis que la Gestapo ne trouvera jamais parce qu'elle ne croit qu'aux
grands arbres. Regarde le prisonnier qui entre dans une villa luxueuse
et se demande pourquoi on lui donne une salle de bain - il n'a pas
encore entendu parler de la baignoire. Pauvre roi supplicié des ombres,
regarde ton peuple d'ombres se lever dans la nuit de Juin constellée de
tortures. Voici le fracas des chars allemands qui remontent vers la
Normandie à travers les longues plaintes des bestiaux réveillés : grâce
à toi, les chars n'arriveront pas à temps. Et quand la trouée des
Alliés commence, regarde, préfet, surgir dans toutes les villes de
France les Commissaires de la République - sauf lorsqu'on les a tués.
Tu as envié, comme nous, les clochards épiques de Leclerc : regarde,
combattant, tes clochards sortir à quatre pattes de leurs maquis de
chênes, et arrêter avec leurs mains paysannes formées aux bazookas,
l'une des premières divisions cuirassées de l'empire hitlérien, la
division Das Reich.
Comme Leclerc entra aux Invalides,
avec son cortège d'exaltation dans
le soleil d'Afrique et les combats d'Alsace, entre ici, Jean Moulin,
avec ton terrible cortège. Avec ceux qui sont morts dans les caves sans
avoir parlé, comme toi; et même, ce qui est peut-être plus atroce, en
ayant parlé; avec tous les rayés et tous les tondus des camps de
concentration, avec le dernier corps trébuchant des affreuses files de
Nuit et Brouillard, enfin tombé sous les crosses; avec les huit mille
Françaises qui ne sont pas revenues des bagnes, avec la dernière femme
morte à Ravensbrück pour avoir donné asile à l'un des nôtres. Entre
avec le peuple né de l'ombre et disparu avec elle - nos frères dans
l'ordre de la Nuit...
Commémorant l'anniversaire de la
Libération de Paris, je disais :
"Ecoute ce soir, jeunesse de mon pays, les cloches d'anniversaire qui
sonneront comme celles d'il y a quatorze ans. Puisses-tu, cette fois,
les entendre : elles vont sonner pour toi".
L'hommage d'aujourd'hui n'appelle que
le chant qui va s'élever
maintenant, ce Chant des Partisans que j'ai entendu murmurer comme un
chant de complicité, puis psalmodier dans le brouillard des Vosges et
les bois d'Alsace, mêlé au cri perdu des moutons des tabors, quand les
bazookas de Corrèze avançaient à la rencontre des chars de Runstedt
lancés de nouveau contre Strasbourg. Ecoute aujourd'hui, jeunesse de
France, ce qui fut pour nous le Chant du Malheur. C'est la marche
funèbre des cendres que voici. A côté de celles de Carnot avec les
soldats de l'an II, de celles de Victor Hugo avec les Misérables, de
celles de Jaurès veillées par la Justice, qu'elles reposent avec leur
long cortège d'ombres défigurées. Aujourd'hui, jeunesse, puisses-tu
penser à cet homme comme tu aurias approché tes mains de sa pauvre face
informe du dernier jour, de ses lèvres qui n'avaient pas parlé; ce
jour-là, elle était le visage de la France.
La France maintenant c'est...
18 novembre 00:39
La Métamorphose des cloportes
Dimanche matin, suis allé chercher des choses pour le petit déjeuner
dès potron-minet. Dans la bruine… magasins fermés, personne. Un
avant-goût, une préfiguration de ce que cela pourrait être
quotidiennement dans un futur moyennement proche.
Création : je ne peux pas passer d'un domaine artistique ou littéraire
à un autre d'un trait, ce n'est pas comme pour le jardinage ou le
ménage… trop d'énergie, de concentration, de précision, d'application.
Alors, c'est lent…
Lu la maquette du 1er polar de Louis. C'est le monde à l'envers : un
éditeur me demande un avis sur son livre. Enchainé sur Boris Vian,
J’irai cracher sur vos tombes.
Je reconnais un peu
1991 dans
les
lignes. Humour potache. Un vrai plaisir à lire cela.
Installé des vieux CD de programmes informatiques dans les arbres. On
ne parle plus de prunies, pommier, poirier, mais d'arbre
Microsoft,
d'arbre
Canon,
etc. J'entre enfin dans la modernité...
24 novembre 00:10
Amour. Imagination. Rêve.
Dans la dernière ligne droite de la finition des livres de poésie.
Dernière relecture, profonde, avant la mise en page et le classement,
l'envoi aux maisons. Définir pour quelques textes leur présence dans le
livre "BO" ou le livre "CDODN". Comme je n’ai déjà plus le recul
nécessaire à force de relire, je vais faire lire à François pour les
fautes "invisibles".
Fini la lecture de
J'irai cracher
sur vos tombes. Vu que ça en parle un
peu, c'est le moment, tant que je suis chaud, d'achever l'exercice de
style américain "biture américaine".
Attaqué le projet "CP2000". Finalement, il pourrait y avoir un peu plus
d'un morceau (sans compter les remix). Mis une musique de Miloud
(plutôt club) et une autre de Wonk (plutôt cool). Depuis mardi, je
travaille quotidiennement sur ça avec Audition. Bon sas de
réintroduction dans la musique avant de passer à la composition.
Quoique, je me sens bien dans le "mixage"... mais ce n'est pas
suffisant.
Nino aurait trouvé une musique pour l'autre projet musical lancé, de
parodie de "chansons françaises".
Hier, journée de tournage de la vidéo de
Notebook91 au Jardingue.
Voilà. En ce moment, c'est les arts plastiques qui calent faute de
temps-énergie. Je me perds à passer trop souvent du coq à l’âne.
Créativité + poésie => quelque chose d'intéressant.
Un an, ça passe vite. Je commence à peine la musique. Jouer sans
batterie (l’instrument) c’est possible. Rhodes, moog, basse… beaucoup
de groupes cherchent à faire du commercial, donc ne pas être dans la
même optique est être déjà doté d’une chance de se démarquer.
La chanson française est tellement chiante actuellement… peu
surprenante. Trop peu de Miossec. Trop de Béna-bar.
Le refrain
Sexy boy de Air
"ressemble" à celui de
I'm just alive
de
Delicatessen… c'est étrange. Je ne m'en suis rendu compte qu'en
réécoutant ce dernier morceau pour la 1er fois depuis des années (avant
la sortie de
Moon Safari ?
)… et découvert Cosmic Supernatural de Kid
Loco... pensant, penchant à
Ce matin
là ou… je sais pas… j'arrive pas à
retrouver !
02 décembre 00:00
L'Ère de la calomnie
Faire intelligent sans faire élitiste. Tout le problème en France. Car
selon les bons penseurs, et c'est culturel, il faut choisir son camp
entre faire réfléchir et faire rire… après on s’étonne qu’on n’exporte
pas notre culture… Le rire, le populaire ne peut être de qualité...
Faire du film social teinté d’humour… Pourtant Stephen Frear l’a fait.
Compilations, rééditions, nouvelles versions, reprises en duos… et la
création musicale ? l'original ?
De Closet : démontrer que par la désinformation (la non information)
les élites (lobbies) créent et maintiennent le consensus. Un consensus
obtenu en attaquant systématiquement les oppositions extrémistes,
celles qui détruisent et n'apportent pas de solutions, au lieu d'entrer
en dialogue avec les opposants modérés afin de construire des
processus. Dénoncer le détournement des technologies par les
constructeurs et les éditeurs de logiciels, et particulièrement le
formatage des usages… Quand est-ce qu'on va avancer ?
Ça faisait longtemps… USA en rêve. Crys en os…
08 décembre 23:47
Make yourself a hero in her eyes
Pour la bonne cause du CP2000 projet, j'ai regardé une ultime fois la
finale de la Coupe de la Ligue 2000 Gueugnon - PSG. Et comme à chaque
fois, le FCG arrive à gagner...
Besoin de cours de chant rapidement. Le projet "chanson française"
avance…
Cinéma samedi soir Cat pour
W,
placé en 2ème film. J'ai repensé dans
la voiture en rentrant que les 3 derniers qu'on est allé voir étaient
des films biographiques ("biopic" pour ceux qui ne savent pas parler
français… et souvent mal anglais), et le prochain aussi avec la suite
de
Mesrine. Ouf !
Heureusement qu'on a des k7/DVD. Je lui passe des
films français des années 60-70 ou des Coen.
La sauvagerie est
un produit de la civilisation
Le lac a gelé cette nuit. Pas les douves...
09 décembre 19:38
Les lions sont lâchés
Voilà. Après presque 4 années de re-travail, j'ai aujourd'hui envoyé un
manuscrit à une maison. Je retourne à la pêche. Avec de l'expérience en
plus, accumulée depuis ces années. Sinon, de nouvelles publications en
revues en attendant.
Axolotl
n°49, le prochain
Poèmes Epars,
ainsi
qu'une anthologie de l'autre côté des Alpes.
Autant je sature vraiment niveau lecture de poésie, autant je dévore
Les morts ont tous la même peau.
Je mange donc encore du Boris Vian.
Plus trash paraît-il que
J'irai
cracher sur vos tombes.
Après, promis, je finis la nouvelle
Biture
américaine…
11 décembre 21:18
La porte de la mort
Refuser toutes les propositions d'hébergement… voilà la nouvelle
aubaine de l'Etat via les (sous)préfectures pour se dédouaner de son
absence de mesures pour lutter contre un aspect de la misère qui enfle
: mourir de froid dans la rue…
Deux hier, un autre aujourd'hui… la série est en cours. Tous avaient
refusé toutes les propositions d'hébergement… bien sûr. Sinon, ils ne
seraient pas morts. Avant, quand on ne précisait pas s'ils avaient
refusé ou non toutes les propositions d'hébergement, on disait qu'ils
mourraient de choses variées, mais jamais de froid (!), souvent,
c'était qu'ils étaient malades… bien sûr.
On pourra toujours guetter la mort d'un SDF qui n'aurait pas refusé
"toutes" les fameuses " propositions d'hébergement"…
Forcer quelqu'un à être logé la nuit pour ne pas mourir de froid ? Le
PS (Pseudo Socialistes) est contre… alors le Gouvernement ne va pas se
gêner pour ne rien faire, pour prendre aucune mesure d'aide concrète *…
pas besoin d'obligations de résultat si on a un prétexte à la mort de
personnes qui ne veulent pas d'aide. Gauche droite bien unies encore
une fois…
Sinon, à part ça, on va gracier un proche du président, condamné pour
corruption…
Ma fois, les fêtes de fin d'années s'annoncent bien… pour certains. Au
chaud.
En avoir…. ou pas.
Voilà,
NM est parti en trois
exemplaires à des maisons… mais j'y crois pas.
_________________________________________________________________
* : bien qu'on se demande quand même dans le ministère (amer) concerné,
après avoir appris que dans d'autres pays on force les gens, s'il ne
fallait pas créer une commission pour cela, pour réfléchir, vu que les
ministres n'en sont pas capables... et puis leur boulot c'est pas de
réfléchir mais de faire de la politique.
16 décembre 23:01
S.O.S. tour Eiffel
Les méchants sont de retour, ils veulent tous nous tuer tous… c'était à
prévoir.
Faut prévoir
Bien sûr, ils sont ciblés.
Plus de vigilance, de vidéo-surveillance
On en profitera pour (sur)veiller les ennemis du Parti
Même pas original. W et son toutou l'on déjà fait.
on devient presque un terroriste si on critique trop (bien) le pouvoir.
Une bonne vieille psychose. Rien de tel pour contrôler…
Entuber.
Propagande.
Faire oublier la crise, la situation économique et les vrais
terroristes...
28 décembre 23:56
Les Fantômes de Noël
Ce n'est plus vraiment comme avant. Et cela ne pourra encore moins être
comme avant. Pas de chance avec les vacances depuis 18 mois, à part
celle d'il y a un an. Des tuiles. Grosses. Qui m'empêchent de profiter
de ce temps libre, de me plonger totalement dans mes projets. Mais là,
cette fois, c'est trop grave. C'est trop !
L'enfance, l'innocence, c'est bien terminé, à jamais. A moins de
sombrer dans l'inconscience, une fois de plus, une dernière fois.
Le grenier est la partie de l'imagination d'une maison.
Une maison sans grenier, c'est une maison avec un vide…
fade.
31 décembre 10:21
Quand passent les faisans
Les 1ers effets de la consanguinité des élites se font sentir à coup de
"logique" : pour commencer sa démarche de demande de VAE et obtenir un
entretien personnel, il faut se taper une réunion de groupe de 2h15
(dont seules les 45 dernières minutes concernent la VAE)… Impossible
d'avoir un rendez-vous sans passer par la "case réunion de groupe"…
Quel ennui quand on attend des réponses à des questions personnelles !
Nous sommes en effet un Grand pays. Le plan alerte enlèvement marche à
chaque fois… qu'on s'en sert. Des armées d'experts consultants essayent
de nous vendre dans le populisme ambiant depuis 2007, la Grandeur de la
France. Pour cela, on n'oublie pas de ne pas trop regarder comment ça
fonctionne ailleurs, on fait des mauvaises analyses, on dit des
contre-vérités, des fautes de français, etc ( => l'autre matin, une
experte-consultante a parlé de "complément complet")... Et à force dire
mentir on fait croire. Ils font croire que la France est une (grande )
nation de sport en (
Havas sports) sans pondération, le champion de
jet-ski vaut autant que celui de 1500 mètres…
Houellebecq ou Loeb, intello ou sportif, corps ou esprit, droite ou
gauche… pourtant sous un certain angle, ils sont tous deux cons comme
des balais… Houellebecq qui se dit de gauche, vit en Irlande pour ne
pas payer d'impôts. Loeb qui dit que tout sportif français devrait être
fier de chanter la marseillaise alors que lui est parti vivre en Suisse
pour ne pas payer d'impôts… Ah…. cette marseillaise et ce populisme. Ah
ces fichus impôts…
La gauche caviar, la droite rillette... on se dit populaire alors que
dans la réalité on est éloigné du peuple...
Envoyé les livres aux maisons à 10h15. Aléa(s) jacta es...
Je ne supporte plus le son des cloches de l'église.
Et puis un rêve disgracieux…
31 décembre 19:00
J'irai cracher sur vos tombes
à Gregory Corso
Répression, privilège, communautarisme.
Liberté, égalité, fraternité. Mon pays France je réécris ton nom.
Plutôt que de chercher à trouver des idées, la solution c'est la
répression,
c'est punir, comme un mauvais instituteur. Ne pas traiter l'origine du
mal car on en
est incapable. La répression, la solution des faibles. Il faut faire de
plus en plus de choses
uniquement par internet : inscription, demande de papiers. Cela permet
un meilleur fichage, un gain de
temps pour touteS rechercheS plus ou moins correctes, une réactivité
augmentée. Mais aussi d’accroître les
inégalités car nous ne sommes pas tous égaux face à la navigation ou
les connexions à haut-débit. La fin de
la télé analogique, la haute-définition, des changements techniques
obligeant à changer de matériel permettant
de mieux contrôler la redevance. Les villes sont de plus en plus
mortes. Sécurité en augmentation et plus facile
à gérer. Terminées les soirées festives, les bars, etc. Tout le monde
reste chez soi devant la télé ou internet… à
s'abrutir sur la vie des people ou comment gagner des millions. Devenir
plus bête pour croire plus facilement les
annonces des politiques, avalant des couleuvres de toutes les couleurs.
Moins on réfléchit, moins on est
curieux, par habitude, moins on risque d'être rebelle, on devient un
mouton. 1789… quoi de neuf ? les avantages sont
pour les gros, les grands groupes, les multinationales. Endogamie donc
moins d'idées, plus d'incompétences, de
mauvais choix, d'absences de solution (SNCF), de bons sens. Les
députés se votent TOUS une rente à vie,
histoire de s'assurer un revenu conséquent en cas de non-réélection.
Dans le même temps,
on demande de plus en plus aux chômeurs de justifier leur recherche
d'emploi,
toucher des aides (substantielles) est de plus en plus dur. Les
plafonds sociaux sont de plus en plus durs à ne pas
atteindre pour ceux qui en on le plus besoin. La
prime pour l'emploi, c'est pour ceux
qui sont au SMIC et à plein temps
(les plus exploités en somme).
Si on touche moins qu'un
smicard sur l'année, qu'on
travaille à temps partiel, qu'on
a eu des petits boulots bien
payés, on se retrouve avec un
savant calcul du service des
impôts qui va nous dire qu'on
n'y a pas droit parce que 8000
euros à temps partiel, ca correspond
à 25000 à temps plein… évidemment.
Pendant ce temps, 7000 foyers
déclarant au moins 97000 euros
de revenus annuel ne payent pas
d'impôts grâce à des niches fiscales…
Ne plus dire clochard mais SDF dire
collaborateur plutôt qu'ouvrier...
on est tous frères ? Baisés !
Et Rachida qui se trompe encore
une fois : Le préfet noir n'est pas issu
des classes populaires, mais fils
d'un inspecteur des impôts…
C'est plus facile quand on est noir
venant des classes moyennes supérieures
que quand on est blanc venant des classes
populaires. "curieusement", on en parle pas
dans les médias. on engendre
des polémiques comme laïcité et menus
dans les établissements. On parle
de respecter les religions mais on
veut imposer un menu unique !
A mon époque le bon sens l'emportait.
Il y avait toujours un 2nd plat pour les quelques
musulmans du lycée. A la Réunion, 70 religions
et zéro souci de cohabitation D'abord,
diviser pour mieux régner,
avec une bonne dose de psychose
collective pour faire avaler la pilule.
Dresser les Français les uns
contre les autres en stigmatisant telle ou telle
catégorie surtout celle qu'on aimerait secrètement
voir crever (fonction publique, profs).Et pendant que
certains sont obligés de travailler plus pour gagner moins, d'autres
travaillent moins et gagnent plus. Tellement plus qu'ils doivent
partir à
Saint-Barth échapperau FISC (et bien Saint-Barth, fait pourtant
partie de la France…),
atterrir pour certains avec leur parachute doré. On peut travailler
toute sa vie consciencieusement pour le
SMIC sans espérer d'augmentation, alors que d'autres font des
erreurs et partent avec un pactole de plusieurs millions
d'euros. Les commerces qui ferment dans les petites communes, c'est de
la convivialité qui disparaît.
Communautarisme ou égoïsme ? Attendant que ça explose…
Répression - Privilège - Communautarisme
03 janvier 21:12
365 jours ouvrables
Bilan de l’année passée ? Participation à trois expos dont le salon du
foot pour la série
Football rivalries
, seuls travaux artistiques
terminés en 2008. Cette série est à finir cette année, peut-être avec
une nouvelle contribution au salon Galaxy. Débuté le recensement de
lieux potentiels d'expo.
Ecritures : mon éditeur est ok pour publier le 2nd livre de poésie dans
quelques mois. J'ai fini 3 autres livres et commencé à les envoyer à
des maisons. Une dizaine de publications revues (poèmes, nouvelles et
surtout les deux chansons du projet musical de chansons françaises, et
de ce fait, elles sont protégées), me suis remis à l'écriture de
nouvelles via les exercices de style.
Musiques : acquisition de matériel et mise en place. Presque fini le
projet
CP2000 avec des
musiques de Miloud et Wonk. Initié le projet
"chanson française parodique" avec Nino. Avancée lente mais constante
avec Hollowave (demo, tourné 1 clip, sites, etc.).
Et puis… Des dizaines de revues littéraires lues et …dévoré un nombre
considérable de livres.
Pas mal tout ça, alors que j’assume un boulot, la prospection pour un
autre travail, l’entretien de la maison, du jardin, du terrain.
Déjà des propositions pour 2009, qui sera forcement sous le signe du «
9 »…
Il faudra avancer, en homme. Plus vite.
Plus jamais comme avant…
12 janvier 22:50
Les Compagnons de l'apocalypse
1942 habitants… pour la première fois depuis 1926, la population qui
oscillait entre 2000 et 2900 personnes, excepté une fois en 1954, est
tombée sous la barre symbolique, administrative (et psychologique pour
moi), des 2000.
Fruit d’un long travail de non développement, de ronronnement, d’une
politique axée sur la tranquillité, la pépère attitude, l’absence de
recherche d’attractivité... "Ben moi j'aurai pu le faire". Et il parait
que c’est à cause du manque de logements que la population baisse ?!
Pas du manque de travail !? Pourtant il y a beaucoup de logements
vides…Ttout ça sent la promotion immobilière ou le permis de construire
facile… Les surfaces industrielles prennent de la place ? Pourtant,
elles sont de plus en plus abandonnées. On est plutôt dans une phase de
fermeture de site que d’expansion. Dans le bulletin municipal, tiens
tiens, on parle de 2012 habitants…
Projet "musique de foot" : achevé pour moi. Mais vu mais mes
compétences, je ne peux aller plus loin et j'attends quelques avis pour
correction. J'attaque la phase de protection avant de laisser passer
les remix puis la diffusion et communication.
Benjamin me donne des (bonnes) nouvelles du Mexico. Je trouve son
travail de plus en plus intéressant. Je me dis finalement que je
connais peu le personnage ou qu'il a beaucoup évolué depuis notre
rencontre à la bibliothèque, au bout de laquelle,
in fine, il
m'expliqua au Bar du Centre les règles du base-ball.
Mon ami me propose de montrer mes divers travaux dans son pays… Mexico,
Puebla… Des terres promises?
Benjamin Bonilla - Jesse Sykes
Benjamin Bonilla - Rostros 2
14 janvier 23:48
Le village maudit
Une usine a fermé, une autre est en redressement. La 3ème, c'est flou.
Tout va mal, rien ne va bien… la course à la catastrophe. Je ne sais
pas, mais depuis quelques années, je pense souvent à ce grand bon en
arrière, l'abandon des villages… une certaine pauvreté, dans un
isolement. Mais la paix.
Et pourtant, je n'aurai pas envie de partir. Pas totalement.
Partiellement...
Benjamin Bonilla - Huyendo del
humus
27 janvier 22:20
Collection 2009
Face à Vista, je demeure en résistance. Mais je sais qu'un jour je
devrais baisser pavillon. En attendant, je suis devenu fan de XP (sauf
que si j'avais su, je n'aurais jamais téléchargé le pack 3
ralentisseur, et comme je n'ai pour l'instant pas le temps de tout
réinstaller…).
23 juin 2009. Un cinquantenaire dont on ne parlera pas dans les médias.
La mort de Boris Vian. Bison Ravi. Si ça pouvait être le jour de la
naissance de notre enfant …
Le Canadien fêtera-il son centenaire avec une Coupe Stanley ?
J'use beaucoup d'huile de coude en ce moment… comme d'hab.
09 février 22:33
La nuit des temps
Hier j'ai fait de l'électricité statique toute la journée. Bizarre.
Est-ce seulement la tension qui a créé cela ?
Commencé il y a quelques semaines
La
nuit des temps… depuis des années
qu'il était sur ma table de chevet ! Retour à un "roman normal" après
du Sullivan et du Vian...
... dans La nuit des temps, j'en suis à la page 280, et je suis
déjà
bien ancré dans le coté "anticipation" du livre. au début, j'ai eu du
mal, mais là... ça commence à se préciser...
Franck le nouveau prof d'éco m'a
filé un site pour acheter plein de livres à un euro. Je vais y pour
notamment un Ravage.
Espérons que l'homme change de
comportement rapidement. il semble
oublier que la destruction de la terre est aussi la sienne (sauf pour
les plus riches qui pourront partir sur une autre planète, au pire sur
un coin de la planète, genre Dubaï.) Est-ce de l'anticipation d'avoir
une telle théorie ?
Des lunes…
Parfois,
La nuit détend.
Le jour,
Les occupations tiennent bon
Dans les tenailles de l'ennui.
Mais les rêves...
Un rêve humide et doux.
Un rêve à vous mettre en chaleur.
Mais à la seconde lecture,
Deux femmes se cachaient
Derrière celle du rêve de la nuit d’avant
Celle qui n'était qu'une façade.
Les rêves sont des florilèges
D'éléments antinomiques.
Est-ce que tout ça veut dire
Que je ne parlerai plus jamais à M ?
La nuit,
L'étang...
La lune se noie dedans...
27 février 00:34
Entre Lune et Louve
Par hasard, je suis allé sur
Maybe Lyne, et j'ai bien fait car après un
long mis hors ligne, les textes de
Childish
fears / Lune sont
"revenus"… Les ai récupérés tous dans l'idée de les imprimer pour moi,
pour ma bibliothèque personnelle uniquement, pour faire le livre dont
elle ne voulait pas. Tant pis pour elle.
Louve ?
je sais pas… elle semble plus à jour... ça serait long et difficile de
choisir une entrée, un plan...
Marrant cet homonyme qui est une grande huile de Microsoft… le plus
drôle et que j'arrive avant lui dans la liste de recherche de Facebook
(d'ailleurs aussi dans
Google).
Zébulon s'est inscrit sur Facebook, autant
incroyable que ça puisse paraître...
Succombé à
Facebook quelques temps après avoir dit qu'on ne
m'y
prendrait pas. Mais pas vraiment en fait. Je m'y exprime en décalé, et
c'est juste un moyen supplémentaire de communiquer mes news.
Nostalgie des premiers temps d'internet, où la mer n'était pas souillée
par les spams et invitations douteuses. Où l'on ne se vendait pas à
soi-même du viagra… des pubs vidéo qui n'existaient pas et ne
ralentissaient donc pas la page d'accueil de votre webmail, etc. Epoque
où j'arrivais souvent au débotté.
Regardant des vieilleries sur
Youtube, j'ai dérivé de France Gall à
Streets of phillies, en
passant par
Le Sud de Nino
Ferrer et So Far
away de mon "sosie".
Et ce soir, de
Manuréva à
William Sheller, Yves Simon…. vite, faut que j'arrête… je retombe sur
mon sosie…
Et l'
Automne 7 de Vivaldi
dans la tête… encore le déchet d'un montage à faire pour l'école…
Mais il serait peut-être bon, il
serait peut-être temps de se demander
si la perfection n'est pas dans l'enfance, si l'adulte n'est pas un
enfant qui a déjà commencé à pourrir… (Barjavel -
La Nuit des temps)
Faith Buck
Fesse bouc
Tortoise
Micro ondé
28 février 01:33
Danse avec les louves
L'éducation française… Les classiques c'est bien mais ça formate trop.
Si au collège, on nous avait faire Bukowski, ça aurait épongé certaines
pulsions et envie d'expérimentation. Si on lisait des poèmes de Jim
Morrsison… Kerouac, Corso, ça fait plus voyager et rêver que Zola et
Balzac…
Il y aurait plus d'envie de lire, d'écrire.
Mais bien sûr… maintenant c'est tout le contraire que veut l'Etat.
Est-ce qu'il y aura
Ravage de
Barjavel à la librairie de LC? Est-ce un
classique, il me semble, ou est-ce déjà trop inquiétant pour les
héritiers de la littérature bourgeoise du XIXème ?
Echangé quelques mails avec Ben qui poursuit sa carrière artistique
chez lui au Mexique:
Au lieu de perdre le temps en parlant
d'un artiste médiocre si
survalorisée comme Kahlo, tu devrais plutôt explorer l'oeuvre d'uatres
femmes avec plus de talent comme María Izquierdo 1902 - 1955, Olga
Costa ou Alice Rahon.
Kahlo ne doit sa célébrité qu'aux hippies américains et européens qui
ont cru voir l'exotisme dans sa peinture, mais il n'y a que des
compositions criardes, expressionistes, avec beaucoup de sentiment mais
qui ne sont pas l'huitième merveille non plus, ce n'est pas la seule
chose qui existe au monde, et certes pas au panorama visuel des arts
mexicaines.
Ce qui rend Kahlo chocante, est cette légende qui l'entoure. Seulement
parce quelques pseudo-écrivains surréalistes lubriquent avec elle, ça
ne veut pas dire qu'il faut lui faire des révérences. Elle était un
peintre qui peignait avec du foie, avec ses intestins, mais pas plus.
Elle n'est pas une déesse non plus.
Tiens, voilà un site qui est un musée virtuel où tu pourras connaître
tout ce qu'il faut de la peinture nationale:
www.museoblaisten.com
la vision extérieure est souvent source de richesses…
On fumait des gauloises bleues
La la la
Les beaux jours…
02 mars 22:46
Les uns contre les autres
1984. C’était mieux parce que j’étais moins vieux et/ou parce que la
société était différente, moins portée sur la mondialisation, la
consommation, l’argent, elle était moins violente et individualiste,
etc. Je crois que je fais partie d’une génération qui plus elle
vieillit, plus elle perçoit ces différences, qui vont bien sûr dans la
mauvaise direction… en extrapolant un peu, on peut tout tracer en noir.
Plus ça va, plus
Starmania
devient l'opéra d'anticipation... S.O.S. de
terriens en détresse... au grand loto de l'univers, on est tous des
numéros. Pas envie d'être un robot, etc, etc, etc...
Bon, c'est vrai aussi que cette semaine de semi-vacances (à moins que
ça soit une demi-semaine de vacances, va savoir...), je glande plus que
d'habitude, et je prends du retard dans le projet
CP2000, alors que ce
week-end, c'est le salon du foot, et que j'essaye d'y être
cyber-présent...
Je pourrais passer ma journée sur Youtube sans que je m’en aperçoive,
comme s’était le cas avant avec SimCity ou NHL99. Grave...
Aime bien aller au stade muncipal de LC, surtout le dimanche, ou le
matin. Besoin de lieux géo-temporelles. De repères immuables.
04 mars 17:47
Pas loin de Brazil
Suis allé à un rendez-vous pour la suite de ma VAE. Une nouvelle fois
bloqué dans les méandres de l'Administration… mais cette fois, le
"cocasse" de la situation était que la demande d'information me
concernant était faite, devant moi, par une personne d'un autre site du
même service public. Enfin, comme elle a dit, si on peut appeler ça un
service public…
Les serveur vocaux sont aussi fous qu'un sketch de feu Raymond Devos
(surtout celui où une personne rentre dans un rond-point et ne peux
ressortir parce qu'il n'y a que des sens interdits. Plus proche de
Brazil que de Kafka quand même.
There we were now
here we are
All this confusion nothing's the same to me
There we were now here we are
All this confusion nothing's the same to me
But I can't tell you
the way I feel
Because the way I feel is oh so ! new to me
No I can't tell you the way I feel
Because the way I feel is oh so ! new to me
What I heard is not
what I hear
I can see the signs but they're not very clear
What I heard is not what I hear
I can see the signs but they're not very clear
But I can't tell you
the way I feel
Because the way I feel is oh so ! new to me
No I can't tell you the way I feel
Because the way I feel is oh so ! new to me
This is confusion am
I confusing you ?
This is confusion am I confusing you ?
This is peculiar, we
don't want to fool you
This is peculiar, we don’t want to fool you
Yeah Yeah Yeah, Yeah
Yeah Yeah...
(Columbia , Noel Gallagher - 1994)
|
Nous étions
là-bas, maintenant nous sommes ici
Toute cette confusion, rien n'est pareil pour moi
Nous étions là-bas, maintenant nous sommes ici
Tout cette confusion, rien n'est pareil pour moi
Mais je ne peux pas
te dire comment je ressens
Parce que ce que je ressens est si nouveau pour moi
Je ne peux pas te dire ce que je ressens
Parce que ce que je ressens est si nouveau pour moi
Ce que j'ai entendu
n'est plus ce que j'entends
Je vois les signes mais ils ne sont pas très clairs
Ce que j'ai entendu n'est plus ce que j'entends
Je vois les signes mais ils ne sont pas très clairs
Mais je ne peux pas
te dire comment je ressens
Parce que ce que je ressens est si nouveau pour moi
Je ne peux pas te dire ce que je ressens
Parce que ce que je ressens est si nouveau pour moi
C'est la confusion
est-ce moi ce désordre en toi ?
C'est la confusion est-ce moi ce désordre en toi ?
C'est curieux, on ne
veut pas t'avoir
C'est curieux, on ne veut pas t'avoir
Yeah Yeah Yeah, Yeah
Yeah Yeah...
|
04 mars 23:34
Mais qui est LC73 ?
Quand commence la vie? On n'y pense pas avant que ça arrive….
Des battements de cœur, c'est signe de vie, non ? j'existait déjà en
1972…
On fumait des gauloises bleues
Qu'on coupait souvent en deux
La la la
Les beaux jours…
07 mars 01:12
So far away from LA or Phillie
Au bout de la nuit. 3h15 Enfin terminé le projet de musique sur le FCG.
Dans la foulée, ai fait un mini-son pour Fred et son système de SMS
SOCCER. Plus tôt dans la journée, j'avais, 3 ans après le dernier, fait
un nouveau diapo, sur
Football
rivalries pour Galaxy Foot
Pas beaucoup de monde ce soir au stade. Concurrence du rival honni. Ca
sent la mort, de plus en plus. Pas tombé dans le passé pour autant, ça
sert à rien et la vie est trop courte. C'est la foule des tribunes qui
me manquent. J'aimerai mieux aller voir une autre équipe devant une
bonne chambrée que des travées vides…
I was bruised and battered and I couldn't tell what I
felt
I was unrecognizable to myself
Saw my reflection in a window I didn't know
My own face
Oh brother are you gonna leave me
Wastin' away
On the streets of Philadelphia
I walked the avenue till my legs felt like stone
I heard the voices of friends vanished and gone
At night I could hear the blood in my veins
Just as black and whispering as the rain
On the streets of Philadelphia
Ain't no angel gonna greet me
It's just you and I my friend
And my clothes don't fit me no more
I walked a thousand miles
just to slip this skin
The night has fallen, I'm lyin' awake
I can feel myself fading away
So receive me brother with your faithless kiss
Or will we leave each other alone like this
On the streets of Philadelphia
Bruce Springsteen
|
J'avais des
ecchymoses, j'étais cabossé et je ne peux pas dire ce que je ressentais
Je ne me reconnaissais plus
J'ai vu mon reflet dans une vitrine, je n'ai pas reconnu
Mon propre visage
Oh mon frère vas-tu accepter
Que je me laisse aller
Dans les rues de Philadelphia
J'ai parcouru une avenue jusqu'à ce que je ne sente plus
mes jambes
J'ai entendu des voix familières, s'estomper puis plus rien
Le soir je pouvais entendre le sang dans mes veines
Aussi noir et murmurant que la pluie
Dans les rues de Philadelphia
Il n'y a pas d'ange qui va me rescaper
Il n'y a que toi et moi, mon amie
Mes vêtements ne me font plus
J'ai marché des milliers de kilomètres
seulement pour échapper à ma peau
La nuit tombe, je repose éveillé
Je me sens faiblir
Accepte-moi, mon frère, d'un baiser sans espoir
Ou alors nous nous quitterons dans la solitude
Dans les rues de Philadelphia
|
19 mars 19:15
Les temps nouveaux
Potain ferme en juin !? Le bloc de l'hôpital de Paray irait à la
clinique avec tout ce qui s'en suit (maternité, pédiatrie…) ?! La RCEA
devient payante dans 5 ans ! Le FCG va fusionner avec le FCMB ? Non,
ouf ! Mais la gare de La Clayette est en sursis, comme certains arbres
de la Promenade.
Je vais bientôt me sentir privilégié avec mes deux moitiés de boulot...
Dans le système économique actuel, il ne peut pas y avoir du travail
pour tout le monde. Une chose que jamais les politiques, si peu
courageux, n'oseront dire aux Français.
Envoyé à la BNF le FCG Music Club Project...