Septembre 2013
30 septembre 23:44
Bright side of the moon
Envie d'une lune claire, d'un clair de lune. Ce soir je suis bien
songeur, inspiré mais ailleurs... Cette fois, et jusqu'à la nuit des
temps, je veux bien être la souris qu’attrapera le chat... dans la
nuit...
11 octobre 23:30
La solitude des nombres premiers
Questionnements... Remise en question. La lune s'est couchée du mauvais
côté, ne s'est peut être plus réveillée...
La solitude s’exprime dans mes rêves comme jamais…
21 octobre 22:55
Indian rope
Soleil d’été indien dans la ville. Les étudiants étrangers arpentent
encore avec hésitation les artères du centre ville historique, quelques
jours après leur arrivée.
Proies idéales dans cette caste, les jeunes filles sur l’herbe, pour
les jeunes banlieusards, sur un malentendu ou un tequila trop frappée...
Leurs ... leurres.
L'été indien se prolonge comme jamais...
27 octobre 03:01
60 Seconds of Solitude in Year Zero
2h01 ou 3h01, je ne sais plus, je suis dans l’heure intemporelle… L’été
indien dure encore… Je me sens bizarre. Je me sens seul. L’effet d’un
traitement terminé, un atterrissage forcé. Fatigué.
Je me suis vidé sur la route, sous une forte pluie, sous l’orage.
Rincé. Besoin d’expurger. Besoin d’un trajet assez long dans la nuit
pour me retrouver. Penser. Beaucoup. A des actes manqués, à des
regrets. A des choses. A me dire que je ne suis qu’un éternel
insatisfait. Tenter de souffler sur ce brouillard, et finalement
positiver.
Quand est-ce que je vais me mettre à corriger ces fichues nouvelles ?
Ca traîne depuis des mois, pour ne pas dire plus… Je suis sûr que c’est
ce qui fera le plus grand bien, du moins dans ce que peux avoir de
façon autonome. Il ne faut pas compter sur les autres, plus que jamais.
C'est ce que je dois faire, au lieu de laisser le doute me faire dire
que je n'ai rien réussi, ou que tout est mauvais...
C’est maintenant le changement ? Relooking, coaching… pas facile dans
mes conditions actuelles. Aller en hibernation peut être, comme dans ce
bel hiver 2004 où je me suis vraiment purgé comme jamais, dans le froid
et la solitude..?
Est-ce maintenant le point zéro ? Mon année zéro ? Repartir,
reconstruire...
Beaucoup de verbes, beaucoup de richesses… beaucoup de question, de «
jamais »…
Je vais me coucher plus tôt que j'ai commencé à écrire ce texte...
remonter le temps ne dure qu'une heure par an.
Oiseaux de nuit, oiseaux de pluie, dur de se nourrir la nuit, de
graine, de chair...
03 novembre 23:20
Walk in the wildside
Les familles se reconstruisent quelques jours, quelques heures. Les
gens retournent dans leur maison héritée, faire du ménage, ou
simplement le point. Et puis repartent, au plus tard le dimanche soir.
J'ai fait du ménage, moi aussi. Beaucoup... enfin...
21 novembre 23:02
Avant l'hiver
Je me sens assez blessé pour foncer seul dans l'hiver. Mode
hibernation, un ras le bol, une envie de protection...
29 novembre 23:48
La fille qui vendait des fleurs vivait
dans un appartement rempli de livres
Plongée-fuite dans l'écriture ce soir, de grosses avancées dans divers
projets. Plus le temps de traîner en route. Et je monte d’un étage dans
la solitude. Je profite pour cela d’un paradoxal gain de confiance
alors que quelques illusions s’envolent, mauvaisement, les unes après
les autres. Je peux préparer les bougies pour de douces soirées oisives
à écrire dans l’ombre. Besoin d'une grande purge.
Et puis… aussi... ce rêve d’il y a deux ou trois nuits, je ne sais déjà
plus. Elle...
La fille qui vendait des fleurs vivait dans un appartement rempli de
livres, un appartement plus grand à l’intérieur qu’à l’extérieur. Comme
dans
La maison des feuilles. Cet
appartement d’un immeuble océan de souvenirs d’enfance, ce rêve source
d'un retour de fluidité créative …
11 décembre 00:45
Un autre homme, une autre chance
Je réécris de la "poésie". Je réécris dans le sens où j’écris à
nouveau, non pas dans le sens ou je retravaille des poèmes. Les
guillemets, c’est parce que ça pourrait être classé dans autre chose…
on ne changera pas la vision des autres sur les disciplines artistiques
et littéraires, ni sur le fait qu’il faille absolument se retrouver
dans une case.
Quatre textes en quelques jours… l’inspiration revient… par où elle est
partie, peut être... comment en être sûr ?
J’écris donc, c’est le principal, pas dans le sens où cela soit vital,
mais dans le sens où tout le reste est secondaire, car alimentaire ou
vraiment du quotidien, de la routine…
J’écris sur la proximité, sur des gens de proximité, et j’aime bien
laisser du mystère entre ces personnes et moi. Je l’entretiens, après
l’avoir cherché…
21 janvier 22:27
Nouvelle vague
Ecrire c’est bien, mais c’est fatigant dans le sens où l’on matérialise
des choses immatérielles, ça demande de l’énergie comme toute création.
Mais il reste le plaisir intact de ce qu’on a fait.
Une nuit récente, j'ai rêvé que je gagnai à la roulette russe au
casino. Ma première envie était de partir dans le Sud. J’ai fait
beaucoup de rêves assez explicites ces derniers temps. Dans ce sens.
Aventure dans tous les sens du terme. Rêves d’aventures...
L’écriture de nouvelles poésies depuis plus d’un mois me permet
d’écrire plus facilement ce journal. Chaque élément à sa propre
fonction. Le journal est normalement un entraînement, dans l’absolu il
est quotidien, mais je ne tiens plus le rythme depuis longtemps. La
réécriture de nouvelles doit permettre de me remettre dans le grand
bain avant l’écriture d’un roman. Alors, la poésie, elle est comme un
aiguillon. L’inspiration, cet obscur objet invisible et inodore, est la
base de tout…
Je surfe sur une nouvelle vague. Une bonne vague. Qui me permet enfin
de commencer à réécrire ces nouvelles après une si longue attente…
Dans l’échelle de la vulgarité, s’approcher de la beauté, les
"bukowskier".
D’abord corriger les fautes de grammaire et conjugaison, bien écrire en
français.
Surfer well…
29 janvier 23:47
All is lost… in translation
La première fois que j’ai vu
Lost
in translation,
j’étais dans l’état de Charlotte, en plein délaissement et me
questionnant sur l’avenir… Cette fois, comme Bob, dans la fuite, je vis
la grande crise existentielle.
Je me situe dans le triangle des Bermudes cynisme – sarcasmes –
désinvolture. Une solution pour sortir d’une grosse déception.
Sylvie m’a passé un livre étonnant. Le bon livre au bon moment.
L’amour
est une drogue douce… en général, de Michel Reynaud.
D’après ce livre, et après ce livre…
« Je t’aime », ça veut dire quoi en fait ?
Ça peut vouloir dire « j’aime plein de choses chez toi », des choses
chez l’autre qui peuvent varier selon les cas, selon le partenaire,
selon l’histoire. Des choses qu’on aimerait éternelles, qu’elles ne
s’arrêtent pas. qu’elles soient toujours là.
Il ne faut pas voir le « Je t’aime » comme une marque déposée d’un
amour unique, une tromperie programmée, une parole déraisonnable ou
encore comme un label d’amour véritable.
Juste comme quelque chose de sincère, qui vient du fond du cœur de la
personne qui lâche ces trois mots.
31 janvier 23:25
Une nouvelle chance
Le premier mois de l’année s’achève. J’ai enfin commencé à retravailler
mes nouvelles. Et je reste sur ma lancée. Dynamique dans tout, une
bonne dynamique… Ca semble vouloir durer. Ca…
Echangeant littérature avec une collègue, j’évoquais
Une biture américaine,
nouvelle qui date un peu, nouvelle typique dans le style Fante,
Bukowski. Je me suis approprié des nourritures mais je ne retrouve pas
toutes les sources à part Coupland. Je suis devenu ma propre ressource…
Un peu sur ma faim ces derniers temps, pour une histoire, belle
rencontre artistique, achevée avant d’avoir commencé… mais au moins,
j’aurai repris un élan en même tant qu'une claque...
J’ai fait le tour de
Lost
in translation… quel sera le prochain film de ma vie ? Lequel
ai-je déjà commencé ?
Pour avoir une nouvelle chance, il faut déjà se la donner…
10 février 01:51
Évanescences
Dose d’endorphine via le sport insuffisante. L’accoutumance... Je dois
augmenter les doses. Je dois augmenter le temps de sport… Problème de
temps cependant, je manque justement de temps déjà…
Je reste en pleine période d’ovulation littéraire. Et je lis beaucoup.
Mais que tout ça reste fragile…
13 février 22:41
Soir de Tonnerre
Il a presque fait de l’orage aujourd’hui. Et donc presque des éclairs.
Encore un jour à quatre saisons...
Ceux qui sont pour la liberté et contre l'agitation
sont des gens qui veulent avoir la pluie,
mais pas le tonnerre.
(Mark Twain)
Vu ce soir au ciné de LC,
Tonnerre.
Une histoire d’amour qui se passe dans un coin perdu comme ici, à
l'autre bout de la région… Film qui peut nous parler, d’un côté… comme
de l’autre. Troublant. Questionnant. Passion, indécision, obsession...
Frais et naturel, avant que cela se gâte… Une histoire d’amour trop
simple pour pouvoir être belle, et pour durer. Il suffit d’un
partenaire fragile pour que tout le château de carte en Espagne
s’écroule, pour peu que l’autre manque de courage pour affronter la
réalité et la vérité...
Some are born to sweet delight,
Some are born to endless night.
(William Blake)
17 février 23:09
Pertes et fracas
Faut bien dire ce qui est : j’ai l’impression que 2014 n’est pas un
grand cru personnel, que je bois le calice jusqu' à la lie, jusqu’à me
demander ce que j’ai bien pu faire comme bêtises dans une vie
antérieure…
Honnêteté, service, courage… pourtant…
A l’université, j’avais passé un livre sur Cantona à un copain pour
qu’il fasse l’illustration d'un article pour notre revue, mais comme il
s’est suicidé sous une rame de métro parisien, je n’ai jamais récupéré
ce livre. Passé aussi un live audio à l’Elysée Montmartre de Morrissey,
à une fille étrange qui était voisine de palier d’un copain... J’ai
prêté des livres, des films, des albums, à des personnes qui les ont
gardés… Preuve que j’ai bon goût.
J’ai toujours flairé inconsciemment le faucon qui prendra le pigeon…
j’ai fait en revanche d’énorme progrès pour deviner les personnes
auto-destructives
Suis-je venu sur Terre, non pas pour fonder une famille, mais pour
remettre des brebis égarées sur leur chemin en faisant en sorte
qu’elles ne suivent pas le mien… ?
Ouais, un petit côté "confiance au 36ème dessous", mais aléatoire et
par intermittence. Mais je sais qu’elle revient, sans prévenir, et
surtout au moment où l’on ne s’y attend pas. Donc… ne plus s’y
attendre, tout simplement.
15 mars 00:08
Temps modernes
Il m’est arrivé un truc incroyable un soir… une chanson venue de nulle
part a hanté mon ordinateur. Impossible de savoir d’où ça venait… et
puis j’ai trouvé. Chanceux de me dire que je connaissais la personne
responsable de cette
belle
musique...
Après avoir rêvé d’un texto imaginaire dans un état matinal de semi
somnolence, voilà que j’ai rêvé, dans le même état, d’un fil de
discussion Facebook….
Temps modernes… ou cercles modernes de l’enfer ?
En même temps que le cerveau sature de trop de travail intellectuel, il
créé quand même des substances positives quand la satisfaction du
travail accompli était atteinte…
Je retourne à ces travaux herculéens...
08 avril 21:02
Copain Cobain
Ceux qui ont maintenant l’âge que j’avais en 1994, à quelques années
près, même, je me mets à leur place. Le parallèle Cobain Morrison,
Nirvana Doors est d’une telle évidence même si de grandes différences
les caractérisaient. La société médiatique emprunte toujours de
raccourcis, par facilité.
Nirvana ce n’était pas le meilleur chanteur, le meilleur guitariste, le
meilleur bassiste, le meilleur batteur, les meilleurs mélodies, mais
putain, c’était au moins deux putain d’albums, une prestation
acoustique MTV pré mortem culte, une puissance sur scène, une synergie,
trois putain de personnes, un son, une attitude…
Celle vilaine impression que ce soit la dernier groupe entier à portée
mondiale. Nirvana ce sera tout ça, avec les traces clichés de Youri
Lenquette, Renaud Montfouny…
Génération Cobain, X, grunge,
(Cobain by Renaud Monfourny)
15 avril 23:45
Never walk alone
John Alfred Anderson (62) Colin Mark Ashcroft (19) James Gary Aspinall
(18) Kester Roger Marcus Ball (16) Gerard Bernard Patrick Baron (67)
Simon Bell (17) Barry Sidney Bennett (26) David John Benson (22) David
William Birtle (22) Tony Bland (22) Paul David Brady (21) Andrew Mark
Brookes (26) Carl Brown (18) David Steven Brown (25) Henry Thomas Burke
(47) Peter Andrew Burkett (24) Paul William Carlile (19) Raymond Thomas
Chapman (50) Gary Christopher Church (19) Joseph Clark (29) Paul Clark
(18) Gary Collins (22) Stephen Paul Copoc (20) Tracey Elizabeth Cox
(23) James Philip Delaney (19) Christopher Barry Devonside (18)
Christopher Edwards (29) Vincent Michael Fitzsimmons (34) Thomas Steven
Fox (21) Jon-Paul Gilhooley (10) Barry Glover (27) Ian Thomas Glover
(20) Derrick George Godwin (24) Roy Harry Hamilton (34) Philip Hammond
(14) Eric Hankin (33) Gary Harrison (27) Stephen Francis Harrison (31)
Peter Andrew Harrison (15) David Hawley (39) James Robert Hennessy (29)
Paul Anthony Hewitson (26) Carl Darren Hewitt (17) Nicholas Michael
Hewitt (16) Sarah Louise Hicks (19) Victoria Jane Hicks (15) Gordon
Rodney Horn (20) Arthur Horrocks (41) Thomas Howard (39) Thomas Anthony
Howard (14) Eric George Hughes (42) Alan Johnston (29) Christine Anne
Jones (27) Gary Philip Jones (18) Richard Jones (25) Nicholas Peter
Joynes (27) Anthony Peter Kelly (29) Michael David Kelly (38) Carl
David Lewis (18) David William Mather (19) Brian Christopher Mathews
(38) Francis Joseph McAllister (27) John McBrien (18) Marion Hazel
McCabe (21) Joseph
Daniel McCarthy (21) Peter McDonnell (21) Alan McGlone (28) Keith
McGrath (17) Paul Brian Murray (14) Lee Nicol
(14) Stephen Francis O'Neill (17) Jonathon Owens (18) William Roy
Pemberton (23) Carl William Rimmer (21) David
George Rimmer (38) Graham John Roberts (24) Steven Joseph Robinson (17)
Henry Charles Rogers (17) Colin Andrew Hugh William Sefton (23) Inger
Shah (38) Paula Ann Smith (26) Adam Edward Spearritt (14) Philip John
Steele (15) David Leonard Thomas (23) Patrik John Thompson (35) Peter
Reuben Thompson (30) Stuart Paul William Thompson (17) Peter Francis
Tootle (21) Christopher James Traynor (26) Martin Kevin Traynor (16)
Kevin Tyrrell (15) Colin Wafer (19) Ian David Whelan (19) Martin
Kenneth Wild (29) Kevin Daniel Williams (15) Graham John Wright (17)
When
all the lights go out forever
Somewhere
near the end of time
The
noise will pass and the dust will settle
And
you'll be on my mind
Now
you won't find it hard to understand
Though
it's so hard to explain
The
who and what and how and why and wherefore
You
kept me sane
You
kept me sane
'Cos
you were there for me
Oh,
and you set me free
To
be what I want to be
With
dignity
Heart
as big as my hometown
Lay
me down by water cool
Heart
as big as the city
Heart
as big as LIVERPOOL
Well
I'll come running from the other side
When
I hear you call my name
And
if somebody wants to point the finger
I'll
take the blame
I'll
take the blame (I'll do the same)
'Cos
you were there for me
Oh,
and you set me free
To
be what I want to be
With
dignity
Heart
as big as my hometown
Lay
me down by water cool
Heart
as big as the city
Heart
as big as LIVERPOOL
And
I am not alone
And
I am not alone
And
I am not alone
And
I am not alone
And
I am not alone (You are not alone)
And
I am not alone (You are not alone)
And
I am not alone (You are not alone)
And
I am not alone (You are not alone)
You
are not alone
Heart
as big as my hometown
Lay
me down by water cool
Heart
as big as the city
Heart
as big as LIVERPOOL
Heart
as big as my hometown
Lay
me down by the water cool
Heart
as big as the city
LIVERPOOL
(And
you are not alone)
And
I am not alone!
(Pete Wylie)
29 avril 23:40
Farwest lointain
Samedi, j’ai « trouvé » une réponse à une question sur un lieu que je
cherche à retrouver depuis des années... le mythique ranch situé dans
un col de la commune de Marchampt. Il y a trois cols à Marchampt, et
maintenant je sais lequel est-ce, de manière fiable.
Je dois retourner à la recherche de ce souvenir mais je sais que
l’espace lieu n’existe plus. Ces souvenirs de fin de dimanche
après-midi ensoleillé, en famille. Une vision personnelle de la
plénitude. Que vais-je y trouver ? Mais est-ce grave de ne pas
retrouver ce que j'ai connu, surtout quand on sait qu'ensuite le ranch
s'est transformé en une feue boite de nuit?...
Ranch, cow-boys et donc indiens…
Le petit rameur peut
être un trappeur, ou un indien. Mais quelqu’un de cool... qui navigue,
qui rame..
Et il a reçu le livre de poésie d’une petite indienne… Il s’appelle
Snif mais il ne le rend pas du tout
triste…
02 mai 02:25
Comme dans un tableau de Edward Hopper
Alors que j’étais dans un troquet d'une petite ville ouvrière avec deux
potes pour finir une soirée trop tranquille, j’ai regardé
circulairement l’environnement. Les angles, les gens, les lumières, la
non communication… ça ressemblait à une peinture de Edward Hopper…
Expérience étrange et inédite…
Des faucons de nuit, sans proies aux alentours…
21 juin 00:54
L'ours qui voulait dormir
Si le solstice d’hiver célébre la victoire de la lumière sur les
ténèbres, de la vie sur la mort, qu’est-ce que le solstice d’été ?
L’apogée de la lumière… et ensuite ?
Si des ténèbres viennent les lumières, si la lumière vainc les ténèbres…
21 décembre, 21 juin…
La victoire des ténèbres… ?
Réveillé alors que j’allais hiberner… six mois de perdu, un an… Oui,
les ténèbres frappent quand elles veulent, pas de règles.
La force peut se trouver aussi dans les ténèbres. Moins de concurrence
pour la cueillir…
Je suis embourbé dans le passé… endormi, attaché, ankylosé, mais je me
réveillerai quand tout le monde s’endormira… j’attaquerai...
08 juillet 02:01
Performance
Performance...
19 juillet 01:22
Mister Oisif
Eau contaminée, festival bal et feux annulés. Malédiction sur LC… Eté
pourri, les festivités sont tombées à l'eau les unes après les autres,
rien à faire, attendre et faire le dos rond…
L’été est, en temps normal, la saison de l’oisiveté. Seulement, encore
une fois, cette année, je ne peux en profiter totalement. Deux «
problèmes » webtechniques + une douleur low dorsal me ralentissent…
Tant que les sites et boutiques ne seront pas terminés, pas de paix
interne.
Pour me rassurer je me dis que rien n’urge vraiment, même si c’est
faux, car il aurait fallu ouvrir ces sites et boutiques au début de la
saison… Et je me projette déjà dans l'été prochain en me disant que je
vais le savourer.
Sinon… les arts plastiques, la musique, l’écriture, c’est mieux l’hiver
dans le froid. L’été c’est le repos cérébral, ne pas trop chauffer le
cerveau, garder de l’énergie pour l’hiver. Economiser la
concentration... Mais au cas où une inspiration me recontre, je ne
refuse pas...
Miscégénation
Lumpenprolétariat
Mesclume
mangeclouds
emporium
25 août 00:59
Sous le signe du cancer… et de la lune
Une amie a dessiné mon thème astral, suite à une réflection sur ma
pénible année 2014. Cette analyse fut enrichissante, j'ai appris des
choses que je savais déjà, cela m'a conforté, et comme tout confort,
c'est agréable. Donc...
Il y a d'abord, et surtout, une Force de la nuit dominante… mon denier
livre s’appelle
Chants d’un oiseau
de nuit...
Oui je suis plus créatif la nuit, surtout pour l’écriture. Et je
travaille la nuit comme... veilleur. Je me considère comme un oiseau de
nuit… Mon premier "recueil", bâclé, s’appelait
Vision et sensation. Je fonctionne
beaucoup à la sensation...
Décider, entreprendre… une carrière plus en rapport avec mon côté
créatif. Ne pas me laisser guider. Le souci du progrès. Toujours
améliorer la qualité du travail.
Oui, désir de faire, de finir pour passer à autre chose, de partager.
Besoin de communiquer mes projets et mes réalisations. Intellectualiser
et partager le travail. Le garder pour moi n’a pas d’intérêt. D’autres
peuvent s’y retrouver, et comprendre.
Je ne prends pas assez soin de moi. J’intériorise beaucoup (trop) (
?)...
Et peut être que je devrais plus m’engager personnellement dans un
groupe (difficulté à rencontrer un partenaire "idéal" en amour et en
musique …)
Une grande conscience de l’existence.
Le point 21° du cancer, période d’ovulation créatrice, une lumière
libératrice qui apparaît tous les mois...
Tension pluton / lune... la dépasser est forcement un plus, une
évolution, transformation.
Des blocages depuis quelques temps, sur mes projets, des problèmes
techniques, mais je les prends peut être comme excuse pour ne pas
avancer.
Oui, besoin et envie de changer, et connaissance que cela va se faire.
Les prédictions sont des opportunités et possibilités, et non des
vérités. On a les clés mais c’est à nous d’agir....